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Dans la Tanière du Lapin Blanc... Ou Noir
21 juin 2015

C'etait une belle... Aventure

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C’était une belle…
… aventure
Même les bonnes choses ont une fin. Et parfois on oublie qu’elles n’étaient pas toujours « si bonnes que ça ».
Voilà c’est dit.
Allez. Une dernière histoire. Et puis peut être une histoire qui aurait pu être.
Soyons fou, cette fois, je m’adresserais directement à P’tit Lu. Une dernière folie, qui restera « à Vegas », comme le reste de l’histoire.
Cette nuit-là, le travail avait été horrible. Enchainer les 5h de routes dans la chaleur étouffante de début juin puis les 8h de taff semblait déjà être éreintant. Et le taff avait été horrible.
En arrivant sur le parking à 5h30 samedi matin, la journée avait été longue. Quelque chose comme 22h debout. Avec une poignée d’heure de sommeil, puisque j’avais passé toute la nuit ou presque au téléphone avec toi. Appels, texto, photo dénudée…
Et là, le drame, je ne trouve pas mes clés, mes affaires tombent dans la poussière, puis la bouteille d’eau. J’étais épuisée. Littéralement.
Bien sûr, occupé par ton propre travail, impossible de te joindre. Mais bon. J’n’étais pas surprise, juste trop fatiguée pour essayer de comprendre.
Lorsque j’arrive enfin à passer la porte de l’appart, je n’avais qu’une idée : prendre une douche avant de rejoindre mon lit. Et ne plus jamais me relever ! Je n’étais pas dans mon lit depuis moins 1 min que tu finis par me répondre. Par discuter. J’avais attendu ça toute la nuit et tu réagis quand enfin j’peux dormir. Qu’à cela ne tienne, ça faisait un mois qu’on n’avait pas pu se toucher, le sommeil allait devoir attendre. Des négociations âpres s’en suivent. Non pas pour que tu viennes, mais pour que tu prennes un peu le temps malgré ton empressement. Nue dans mes draps, j’espérais franchement que tu viendrais mais j’étais trop fatiguée pour céder. Lorsque tu m’as rejoint dans le lit, j’n’en pouvais déjà plus d’excitation. Nos joutes verbales valaient bien nos préliminaires. Sans attendre, tu as glissé une main sous la couette, pour venir tester l’humidité de mon sexe. Visiblement satisfait de ton effet, tu m’as doigté, interrompant une phrase en plein milieu, avec ce regard qui dit « vas-y, continue de parler, j’t’écoute ». Je me suis allongée sur le dos, plus à l’aise pour sentir tes doigts et continuer à discuter. Prenant sans doute ce geste pour une invitation, tu t’es glissé sous les draps, pour aller caresser mon sexe de ta langue, bien trop affutée, je dois l’dire. J’ai été obligée de me taire. Ça t’a d’ailleurs fait rire, comme toujours. Contre ma peau, c’est un réel délice. Tu as sorti la tête de sous les draps, et tu m’as demandé si tu pouvais prendre un de mes jouets. J’ai tendu la main vers le tiroir le plus proche et en ai sorti un vibro. Les yeux pétillants, t’es retourné sous les draps. Ton jeu de langue, de doigts et maintenant le vibro. J’ai eu l’impression de planer. Ton corps contre le mien, tes mains sur mon corps. Tout était en place. Je finis par t’attirer à moi. Pour t’embrasser. Te relever. Te déshabiller, un peu. Accéder à ton sexe. Le porter à ma bouche. Enfin. Déjà dur et dressé, comme toujours. Jeu de langue, de suçions. Mais pas trop longtemps, que tu ne sois pas trop excité pour la suite. Puis je sors un préservatif, te le mets. Je me retourne, cambrée, pour que tu puisses me pénétrer tout mon saoul. Accroché à mes hanches, tes coups de bassin m’entrainent rapidement à nouveau dans un état second. Je joue à mon tour avec le vibro, pendant que ton sexe me pénètre, encore et encore. Puis tu glisses un doigt entre mes fesses. Puis deux. Avant de glisser ton sexe. La sensation est toujours autant exquise. Exempte de douleur. Ton sexe est fait pour ça. Tes allers-retours se sont calmés le temps que mon corps se détende. Puis au son de mes gémissements, tu accélères à nouveau. L’orgasme arrive. La stimulation double entre le vibro et la sodomie est redoutable d’efficacité. Je me détends et te sens te détendre aussi, avant de te retirer. Je reste un instant allongée sur le ventre, reprennant mon souffle. Puis je me lève et te rejoins dans la salle de bain. Pour te regarder effacer toute preuve de ton passage entre mes cuisses. Notre badinage reprend, comme si nous ne venions pas de coucher ensemble et je te raccompagne à la porte, tu te penches pour m’embrasser et comme à mon habitude, je me colle de tout mon corps contre toi. Une dernière caresse, en somme.
On décide de se voir pour ta prochaine garde postée seul.

Voilà comment ça aurait pu se passer :

Tu m’appelles. Je te rejoins. Jupe et t-shirt léger, sans sous-vêtement. Pendant que je conduis, on s’appelle. Sur le chemin, je commence à me caresser les seins. Tu m’entends gémir lorsque je commence à me caresser le sexe, tripoter le clito. Je te donne des consignes très simples : avoir le sexe déjà dur et sorti par la braguette dès mon arrivée. Pour que je puisse me pencher et déposer un baiser rapide sur ton sexe avant de t’embrasser. Je te mets un peu au supplice en faisant durer les caresses et les baisers, sans oublier de te branler lentement. Rapidement, tu me dis d’arrêter mon jeu de main. J’en profite pour sortir une capote, te la tendre. Je me retourne pour me mettre dans une position explicite, les mains sur le capot de la voiture. Tu glisses un doigt, puis deux et me sentant particulièrement humide, tu t’enfonces en moi. Après quelques aller-retour, tu te retires, écartes mes fesses et me lèche, lubrifiant pour le passage pour ton sexe. Tu te glisses à l’intérieur de moi, me faisant gémir et me cambrer. Après quelques aller-retour je me redresse et tu glisses tes mains sous mon t-shirt, le relève et saisi mes seins à pleines mains. Je passe un bras derrière moi pour te caresser la nuque et me retourne légèrement, à la recherche de tes lèvres. Lorsque je me penche à nouveau tu lâches mes seins pour t’accrocher à mes hanches, le temps d’une brève accélération des coups de reins puis tu te relâches. Au moment où tu te retires, je me retourne et t’embrasse, pressée contre ton corps. Surpris par ce mouvement inhabituel tu restes contre moi, les bras légèrement écarté de nous, me laissant libre de glisser mes doigts sous ton pull. « Maintenant, on a 45min pour se disputer et te laisser reprendre ton souffle. J’ai pleins d’idée d’activité pour t’occuper. »

 

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  • Bienvenue dans ma Tanière... Je m'appelle Tentation, Provocation est mon deuxième prénom. Je viens naviguer dans ces eaux... Mes amants me disent joueuse, chasseuse, coquine. Moi je dis que je suis Libre.
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