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Dans la Tanière du Lapin Blanc... Ou Noir
7 mai 2012

C'est le retour du PlayBoy, tada tada da ...

Le titre est terriblement naze, mais en fait, c'est une référence à une chanson de Sinsemilia....

Donc, il était environ minuit quand je me décide à rentrer dans ma tanière. Tout juste le temps de franchir le portail, que je vois sa voiture arriver. Je vais jusqu'à l'appart, jette mes affaires en vrac et ressort. J'aurais voulu avoir le temps de changer de tenue, donc ça sera jean et t-shirt à manche longue. Rha, j'aime pas trop ça, quand c'est fait à l'arraché, mais bon.

Je l'attend devant le portail.

"Tu avais peur que je me perde ?"

Il s'approche, se penche, et son hésitation me fait sourire. Je me contente d'effleurer ses lèvres du bout des miennes. On commence un peu à discuter, on prend des nouvelles de nos vies respectives, c'est fou, aujourd'hui, ça doit être la journée de la discussion.

Lui aussi reste très sage, assis à ma table, sa tasse de café fumante entre les doigts.

C'est encore en période de froid, et mon appart est très mal chauffé, je tremble rapidement.

"Ca t'ennuie si on se cale sur mon lit, j'ai franchement froid" (quoi ? c'est un studio, la table est à 20 cm de mon lit !)

Je m'assoie donc sous ma couette et on continue à parler. (ce qu'on parle aujourd'hui !! mais je l'ai déjà dit)

Le tiroir de jouet est ouvert, bien sur, et je vois son regard s'y perdre, avant de comprendre ce qu'il voit.
"tu me montres ?"

Alors je sors mon tout petit arsenal, en explicant à quoi sert quoi, on rigole avec, on joue avec, mais.. pas de manière très sexuelle, finalement.

Mais on se rapproche, suffisement pour que je tende les lèvres et l'embrasse.

Il nous fait basculer, lui au dessus. Mais cela reste assez sage. Puis je lui mordille la langue, la lèvre. Et c'est comme un signal. Il se redresse, tombe son pull. Lentement. Et je ne rate pas une miette du spéctacle, et comme je vois mieux avec les mains, j'en profite pour le toucher. Il est chaud, tellement chaud, sa peau sous mes doigts semble vibrer, douce à m'en faire crever d'envie. Alors je me redresse sur les genoux et embrasse ce torse qui me fait tant rêver. Le cou, entre les pecs, je m'arrête sur les tétons, il rigole, je descend, jusqu'à son nombril, jusqu'à la ligne de poil qui disparait dans son pantalon. Je defait le premier bouton, puis les suivants. Son souffle s'accelère, ses mains m'arrêtent. Il descend du lit, enlève son pantalon et son boxer et une fois encore, je ne rate rien du spectacle. Il ne me lâche pas des yeux. Je ne peux m'empêcher de me mordiller, ou de me passer la langue sur les lèvres.
Une fois nu, debout devant moi, il passe sa main dans mes cheveux, s'en saisi, me fait pencher la tête en arrière et m'embrasse. Très fort.

"Je sais que je ne suis pas le seul, et pas le premier aujourd'hui, mais je veux que tu ne penses qu'à moi pour ce qui va suivre"
Il a glissé ses mots contre mes lèvres, très vite et très bas. Inavouable. Puis il me lâche, glisse ses mains sous mon t-shirt et me l'enlève.

Il m'embrasse à nouveau, mais cette fois, il n'est pas rempli de possessivité, le désir l'a remplacé.

Quand il se redresse, son torse est à porté de bouche, tout comme son sexe, déjà en partie dur. Je passe mes mains sur ses fesses, et glisse la langue le long de son sexe, entour le gland avec ma langue, avant de le prendre entièrement dans la bouche. Puis, à contre coeur, il faut bien le dire, je lâche ses fesses et d'une main je caresses ses bijoux de famille, et de l'autre, je commence des mouvement de vas et vient pendant que ma langue joue avec son gland. Rapidement, il durci, alors je sers plus forte la main, et ma bouche reste sur le bout de son sexe, le suçotant, pendant que ma main fait des allers retours.

Il commence à gémir, j'arrête mes mouvement de va et vient, et fais glisser ma langue le long de son sexe, puis mes lèvres descendent le plus bas possible, et je remonte, en aspirant. Je recommence plusieurs fois, avant de décider qu'il est suffisement dur, de l'attirer sur le lit, de me deshabiller à mon tour. Je m'approche de lui, à quatre patte sur le lit, il me regarde, un petit sourire flotant sur les lèvres. Je m'installe sur lui, bougeant légèrement les hanches pour que son sexe trouve bien sa place en moi, puis je me redresse, me penche en arrière et mon souffle s'accélère. Il se redresse aussi, prend mes seins et me mord le cou, puis les seins.

Je ne sais pas comment, mais je finis sur le dos, les jambes croisées dans son dos, les mains au dessus de la tête, cambrée et gémissante.
Je décroise les jambes et les ramène à moi, il lache mes mains et s'appuie sur mes genoux, écartant encore plus mes jambes. C'est comme si son sexe aller encore plus loin en moi, il touche une zone qui fait encore accélérer mon coeur, mon souffle. Le plaisir commence à monter, alors je me caresse, et la stimulation des deux zones fait monter l'orgasme tellement vite qu'il me prend au dépourvu, je m'accorche à ses bras, me rappelant au dernier moment que je ne devais pas laisser de marque. Il accélère encore un peu et je finis de me contracter avant de me détendre. Il m'embrasse, et me glisse à l'oreille, qu'il aimerait bien que je me retourne. Ses mots ont du mal à trouver une accroche dans mon cerveau embrumé par le plaisir. Mais je me retourne, sur les genoux et sur le coudes, recommançant à titiller mon clito déjà bien à vif.

Je pourrais flamber et dire que j'ai eu un autre orgasme, mais en fait, non. Par contre, j'ai pu empecher la rechute du plaisir, et j'ai flotté au bord de l'orgasme, gémissante et frémissante,  me carressant et le carressant à chaque mouvement de va et vient.

Il a fini par se détendre, s'allonger à côté de moi. Appuyé sur le coude, il me carresse le dos, puis s'habille et se rallonge à côté de moi, me recouvrant de la couette, parce que je commence déjà à trembler.

On a recommencé à parler. En tout et pour tout, il est resté plus de 3h chez moi. Un nouveau record. Jamais je n'avais autant parlé avec lui.

Drôle de journée, vraiment. Mais je sens que je vais bien dormir...

 

 

 

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Commentaires
M
plus personne ne passe ici ?
M
il y a-t-il de l'écho ?<br /> <br /> il me semble que ce blog est en déshérence !!<br /> <br /> que devenez vous ?
Dans la Tanière du Lapin Blanc... Ou Noir
  • Bienvenue dans ma Tanière... Je m'appelle Tentation, Provocation est mon deuxième prénom. Je viens naviguer dans ces eaux... Mes amants me disent joueuse, chasseuse, coquine. Moi je dis que je suis Libre.
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